Alexandre Langlois : « on a accéléré le contrôle de la population sous un vernis sanitaire » Abonnés

À l’occasion de la rentrée scolaire, Bas les Masques a reçu René Chiche, professeur de philosophie et représentant de la CFE-CGE au Conseil supérieur de l’éducation. Dans cette première partie, il revient sur le protocole sanitaire mis en place pour la reprise des cours et nous explique ses conséquences sur l’enseignement.

Avec l’aimable autorisation de Laurent Mucchielli, nous publions sa tribune parue dans QG, Le média libre et intitulée « À-t-on encore le droit d’exercer son esprit critique en France » ? Déjà soutenue par plus d’un millier de signataires issus notamment du monde médical, juridique ou encore universitaire, elle dénonce la censure qui s’exerce à l’encontre de toutes les voix qui conteste la doxa sur le Covid-19.

Trois soignantes libérales représentées par Me Diane Protat ont contesté la vaccination obligatoire qui leur sera imposée à compter du 15 septembre prochain. Bilan de l'audience avec l'avocat des requérantes avant le délibéré qui aura lieu le 10 septembre.

Pass sanitaire, obligation vaccinale, situation des mineurs… Me David Guyon, avocat au barreau de Montpellier, détaille les recours qu’il entreprend actuellement, ainsi que les conseils pour les personnes contraintes à la vaccination.

Anesthésiste réanimateur à Toulouse, le docteur Olivier de Soyres revient sur le profil des personnes actuellement en réanimation. Maintenant qu’une large partie des personnes à risque est vaccinée, il est temps, affirme-t-il, de sortir de la narration de la peur, surtout que la surcharge des hôpitaux n’est, d’après lui, plus un sujet.

La fin du remboursement des tests PCR et antigéniques « de confort » début octobre risque de faire flancher le chiffre d’affaire des laboratoires qui les réalisent. Mais étant donné le joli pactole sur lequel ils se sont assis ces derniers mois, pas certain qu’il y ait grand monde pour les plaindre.

Me Philippe Prigent a récemment déposé un nouveau recours contre le pass sanitaire au nom du Cercle Droit & Liberté. L'avocat habitué à batailler seul contre tous dans les médias contre le sanitairement correct détaille les enjeux de son action en justice et revient sur la manière dont se déroule le débat public sur la crise sanitaire et les restrictions de liberté.

Si le peu de résistance opposé par les Français aux restrictions sanitaires qui lui ont été imposées a pu défriser, cette obéissance n’est au fond pas si surprenante. Au-delà de la stratégie éprouvée de « la carotte et du bâton », c’est grâce à un véritable arsenal de conditionnement psychologique que l’exécutif modèle le comportement des Français à sa guise.

L’agence onusienne de la santé a refroidi le zèle des pays occidentaux, de plus en plus nombreux à se jeter sur la troisième dose de vaccin, cette dernière étant jugée scientifiquement inutile et moralement contestable.

Le Forum économique mondial a prévu cinq changements de société à long terme, qui sont selon eux dus à la crise sanitaire. Derrière un vernis progressiste et bienveillant, ces projections laissent davantage entrevoir une entrée à marche forcée vers une société de surveillance numérique.

Chercheur associé à l’Institut Thomas More et spécialiste des enjeux éthiques du numérique, Cyrille Dalmont revient sur la décision du Conseil constitutionnel sur le pass sanitaire. Selon lui, ce dispositif constitue une nouvelle étape dans un processus plus profond de grignotage de nos libertés individuelles et collectives, menacées par une société dérivant de plus en plus vers le contrôle social.

Malgré les voix scientifiques discordantes, les pouvoirs publics se sont lancés depuis des mois dans une vaccination généralisée censée bloquer la transmission du virus et nous faire attendre la fameuse immunité collective. Et ce, quitte à faire usage d’une coercition plus ou moins douce. Pourtant, ces derniers jours, les certitudes à ce sujet semblent s’étioler, notamment au sommet de l’État.

Un an et demi de pandémie, et les soubresauts liberticides continuent, plus rigoureux les uns que les autres. Une bonne raison pour notre contributeur Henri Feng de faire le bilan, et de revenir sur la manière dont nos démocraties dites "libérales" ont su puiser dans des réserves d'autoritarisme qu'elles ne soupçonnaient pas...

Situation volontairement « dramatisée », reportages en réanimation sur les « regrets » des non-vaccinés, théâtralisation des contrôles du pass sanitaire par les forces de l’ordre… Face à la fronde qui prend de l’ampleur contre les restrictions sanitaires, la communication gouvernementale ne cesse de s’enfoncer dans la démesure.

Que pensent les policiers des modalités du pass sanitaire ? Obéiront-ils avec zèle aux ordres d'en haut ? Réponses avec le policier Bruno Attal, secrétaire national du syndicat France Police - Policiers en colère et fondateur du collectif Touche Pas à Mon Flic. 

L’Agence européenne du médicament a annoncé qu’elle étudiait le lien de trois affections avec la vaccination anti-covid. De quoi à nouveau jeter le trouble sur la stratégie de vaccination généralisée choisie par le gouvernement, et à laquelle celui-ci n’est pas près de renoncer.

Une semaine après la validation servile du pass sanitaire par le Conseil constitutionnel, vient l'heure du bilan. Sa décision était-elle légitime ? Les conflits d'intérêts potentiels ont-ils pesé dans le verdict ? Peut-on encore enrayer la machine ? Analyse juridique en profondeur avec Maxime Thiébaut, docteur en droit.

Dans la droite ligne de l'entretien réalisé avec Laurent Mucchielli et publié ce mercredi 11 août, nous republions en accès libre (et avec son accord) l'article qui lui a valu d'être censuré par Médiapart.

Pour avoir osé sortir des clous du sanitairement correct, le sociologue et contributeur régulier à Bas les Masques Laurent Mucchielli a vu Médiapart dépublier son article portant sur la vaccination. Il nous en dit plus.

La validation du pass sanitaire par le Conseil constitutionnel a ébranlé toute la France. Écrivain polémiste et contributeur régulier de Bas les Masques, Claude Janvier voit dans ce coup de force (anti)démocratique le signe d'un État de droit instrumentalisé par la majorité macroniste au point de ne plus être qu'une carcasse vide. Son billet.

Contre-pouvoirs invisibles, opposition convenue, autoritarisme macronien... Observateur assidu de la vie politique française, l'essayiste Antoine Cohen passe au crible l'état de notre démocratie, et dresse l'inventaire des scénarios possibles d'ici à 2022...

La dernière enquête de pharmacovigilance menée par l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) fait état de plusieurs cas de troubles menstruels survenus après l’injection des vaccins Pfizer et Moderna. Si, pour l’instant, rien n’est avéré, cela met en lumière un nouvel angle mort dans la prise en compte de la balance bénéfice/risque, au moment où ces deux vaccins sont accessibles dès 12 ans.

Hier, le Conseil constitutionnel rendait sa décision – aussi attendue que prévisible – sur le projet de loi "sanitaire". Est-ce la preuve définitive que la justice préfère s'aligner sur les décideurs politiques plutôt que de défendre les libertés publiques ? Débriefing avec Thibault Mercier, du Cercle Droit & Liberté.

Ce jeudi 5 août, le Conseil constitutionnel a rendu sa décision validant, à quelques réserves près, la loi prévoyant l'extension du pass sanitaire. Mais pour l'essayiste Eric Verhaeghe, observateur averti des rouages de l'administration, cette décision n'est paradoxalement pas si négative pour les adversaires de ce dispositif. Explications.

Le pass sanitaire nous l'aura montré : les restrictions aux libertés publiques que nous vivons depuis le début de la pandémie n'ont rien d'anodines. Au point de constituer un véritable tournant civilisationnel ? Analyse avec l'économiste et essayiste Florent Ly-Machabert.

Le sociologue Michel Maffesoli, auteur récemment de L’ère des soulèvements (Cerf, 2021), revient sur le discours d’Emmanuel Macron du 12 juillet. Selon lui, cet événement marque une étape supplémentaire vers la société des tribus qu’il avait théorisée il y a quelques années… pour le meilleur et pour le pire.

Après avoir essuyé un nouveau rejet de la part du Conseil d’État au sujet du pass sanitaire, l’avocate Me Diane Protat poursuit son action contre le dispositif. Saisie d’une question préjudicielle, la Cour de justice de l’Union européenne devra déterminer si, oui ou non, la vaccination anti-Covid est en phase d’essai thérapeutique soumis à l’obligation du consentement libre et éclairé. Explications.

Le sénateur de Haute-Savoie Loïc Hervé est revenu sur la manière dont a été voté le texte prévoyant entre autres la quasi généralisation du pass sanitaire. Étant opposé au dispositif depuis le début, il s’inquiète des dérives qu’il pourrait occasionner.

Parcs d’attractions, cinémas, salles de sport… Si l’on peut encore attendre longtemps avant de voir un quelconque effet du pass sanitaire sur les courbes épidémiques, les dégâts économiques qu’il provoque sont, eux, déjà bien visibles. Et ça n’est pas près de s’arranger

DImanche 25 juillet, le Parlement adoptait l'extension du pass sanitaire. Avec Nicolas Vidal, fondateur de Putschmedia, Bas les Masques revient sur la pantalonnade démocratique qui a permis le passage de ces mesures liberticides, et sur la défiance grandissante des Français vis-à-vis de leur classe politique.

La commission mixte paritaire qui s’est tenue ce dimanche 25 juillet a finalement validé le projet de loi étendant le pass sanitaire, avec quelques ajustements peu significatifs par rapport au texte initial. C’est ainsi que prend fin la parodie de débat parlementaire entamée la semaine dernière, durant laquelle se sont succédé un flot de déclarations surréalistes, entre mensonge, désinformation et manipulations technocratiques.

Et si la crise sanitaire était avant tout une crise médiatique ? Désinformation, biais de confirmations, tropismes idéologiques au service de l'alarmisme sanitaire... Le sociologue Laurent Mucchielli décortique les grands errements des médias en un an de pandémie.

Contre-pouvoirs, restrictions sanitaires, liberté d'expression, maintien de l'ordre... L'avocat François Saint-Pierre, auteur du récent essai Un pays qui voudrait rester libre (éditions Odile Jacob) revient avec nuance et gravité sur l'état de nos libertés publiques en France.

Conséquence souvent mise de côté de la gestion mondiale de la crise sanitaire, la question financière est pourtant fondamentale. Notre contributeur Henri Feng attire notre attention sur ce problème largement survolé par les médias convenus.

Le pass sanitaire a-t-il une justification scientifique ? Comment interpréter la stratégie sanitaire du gouvernement ? Que penser de la communication (particulièrement intrusive) sur le vaccin ? Autant de questions auxquelles le sociologue Laurent Mucchielli répond.

L'avocat François Saint-Pierre revient sur l'avis du Conseil d'État — qui a validé en grande partie l'extension du pass sanitaire —, ainsi que sur les manifestations de ce week-end et les réactions des politiques.

OPINION. Samedi 17 juillet, aux quatre coins de la France, des dizaines de milliers de citoyens excédés défilaient contre l'autoritarisme vaccinal et contre le pass sanitaire. Écrivain polémiste et contributeur régulier de Bas les Masques, Claude Janvier voit dans la réaction de l'establishment à cette vague populaire le signe d'un pouvoir qui vacille. Son billet.

L’association Union pour la prévention et la gestion des crises sanitaires (UPGCS) a décidé d’envoyer un courrier aux députés pour les avertir des conséquences de leur vote cette semaine à l’Assemblée. Ses deux coprésidents détaillent leur action contre l’extension du pass sanitaire et l’obligation vaccinale : deux mesures qui sont selon eux non fondées scientifiquement et entravent gravement la liberté et la cohésion des Français.

Ce samedi 17 juillet, ils étaient 150 000 selon les organisateurs - 18 000 selon le gouvernement, qui a décidément du mal avec les chiffres - à Paris pour protester contre le pass sanitaire. Une mobilisation massive à la veille d’une semaine de débats cruciaux au Parlement, sur une mesure qui engage nos libertés et notre modèle de société.

Lundi 12 juillet, Emmanuel Macron annonçait en grande pompe l'instauration du pass sanitaire à compter du 1er août. Simple couteau sur la gorge d'une large partie de la population ? Ou coup de poker politico-sanitaire ? Didier Maïsto décrypte.

La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a rendu le 8 avril 2021 une décision relative à l’obligation vaccinale des enfants en République tchèque, à la suite de laquelle de nombreux médias ont titré « La CEDH juge la vaccination obligatoire nécessaire dans une société  démocratique ». Cette affirmation est pourtant fausse et il y a lieu de penser que la position de la  CEDH serait autre, si lui était soumise la question de la vaccination obligatoire contre la Covid-19.

PÉTITION. Le discours du président de la République, ce lundi 12 juillet, a marqué un tournant dans notre modèle de société. Avec l'instauration d'un pass sanitaire obligatoire, l'exécutif ouvre la porte à une France à deux vitesses, où les non-vaccinés se voient privés de droits élémentaires. Contre cet état de fait qui se profile, Bas les Masques a décidé d'agir.

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La France n'est plus une démocratie. C'est sur ce constat que Rémi Tell, fondateur et porte-parole du collectif "Peuple libre", a entamé sa rencontre avec Bas les Masques. Après les annonces présidentielles du 11 juillet, une digue a cédé ; les Français sauront-ils reprendre leur destin en main ? Comment ?

L’allocution d’Emmanuel Macron prononcée lundi soir annonce un changement de paradigme sanitaire. Malgré la multitude de questions légitimes que pose la vaccination de masse, c’est devenu le seul horizon de l’exécutif… Et pour cela, le chef de l’État semble prêt à presque tout.

Sénateur de la Haute-Savoie, Loïc Hervé est l’un des rares élus à s’opposer ouvertement au pass sanitaire. Plus généralement, il alerte sur les dérives qui menacent nos libertés publiques et sur le changement de société.

Alors que l'exécutif songe à mettre en place la vaccination obligatoire des personnels soignants (voire de toute la population), les injonctions à la vaccination se font chaque jour plus nombreuses. Pourquoi ? Analyse avec l'essayiste Éric Verhaeghe.

Alors que l’obligation vaccinale pour les soignants — et peut-être ensuite pour le reste de la population… — fait l’objet d’une offensive médiatique depuis quelques jours, le docteur Bernard Kron fait le point sur la stratégie du gouvernement. Pour l’auteur de Blouses blanches, colère noire (éditions Max Milo), l’immunité collective étant inatteignable, vacciner les enfants et la rendre obligatoire pour les soignants n’est pas raisonnable.

Bien que peu létale, l’épidémie du Covid-19 a néanmoins réussi à mettre en branle un système hospitalier à bout de souffle depuis de nombreuses années. Régionalisation, nombre de médecins, suradministration... Pour le docteur Bernard Kron, membre de l’Académie nationale de chirurgie et auteur de Blouses blanches, colère noire (ed. Max Milo), il est urgent de remettre à plat le système de santé français.

Chef de service de la médecine du sport au CHU de Clermont-Ferrand, le professeur Martine Duclos a mené une étude sur 90 élèves de CE1 et CE2. Baisse des capacités physiques et cognitives... Le constat est alarmant et pourrait avoir de très lourdes conséquences à long terme.

Après les régionales, le désaveu des Français vis-à-vis de leur classe politique a rarement été aussi criant. En 2022, les citoyens pourront-ils revendiquer l'héritage des Gilets jaunes et se réapproprier la vie politique ? Membre du Gouv' et candidat pour la Concorde citoyenne, Fabrice Grimal nous a présenté son diagnostic des maux qui parcourent notre société, et son plan de bataille pour les présidentielles.

Hier, à l'occasion du second tour des élections régionales et comme la semaine précédente, l'abstention à atteint des records. Du côté des politiques, l'heure est au déni : culpabilisation du ras-le-bol des Français qui se sont abstenus, et aucune remise en question de leur propre impéritie. Analyse en détail avec Nicolas Vidal, fondateur de Putschmedia.

Entre le cas Doctolib et le pass sanitaire, la confidentialité des données médicales est plus que jamais menacée. Doit-on s'attendre à toujours plus d'intrusion et à toujours moins de respect de la vie privée ? Est-ce le début de la fin du secret médical ? Le Dr. Fabien Quedeville analyse.

Isolement forcé, médiaterus anti-Covid, autotests… Pour cet été, Olivier Véran a prévu un dispositif particulièrement lourd. Fabien Quedeville nous explique pourquoi cet autoritarisme, sans la moindre justification scientifique, n'a rien de rationnel.

Pourquoi, en matière de vaccination, la tendance est-elle à la baisse ? La stratégie gouvernementale du "tout-vaccinal" a-t-elle porté ses fruits ? Qu'en est-il des effets secondaires ? Pour Bas les Masques, le Dr. Fabien Quedeville analyse en détail cette question épineuse.

EXCLUSIF. Didier Raoult a reçu Bas les Masques dans son bureau de l’IHU - Méditerranée infection. Vaccins, variants, traitement… Le professeur fait le bilan de l’épidémie et fustige la charge médiatique qui continue, encore aujourd’hui, de terroriser la population.

À l'approche de l'été, et alors que quelques alarmistes continuent de caqueter, où en est l'épidémie ? Le fameux variant indien (ou "delta") est-il une menace ? Pour Bas les Masques, le Dr; Fabien Quedeville fait le point.

Comment sont comptabilisés les décès liés au Covid-19 ? Sont-ils vraiment tous dus au virus ? Que sont les certificats de décès électroniques ? Beaucoup de questions, quelques réponses… mais un cafouillage qui masque une vision faussée du bilan humain de cette crise.

Selon un média allemand, la start-up Doctolib aurait, pendant plusieurs mois, transmis des données sensibles de ses utilisateurs d’outre-Rhin à Facebook. En France, l’entreprise a nié s’être adonnée à la même pratique, ce qui est impossible à vérifier…

Alors que les indicateurs épidémiques continuent de chuter, le gouvernement a prévu un arsenal sanitaire en faisant planer la menace du variant indien. Objectif : maintenir artificiellement la menace du Covid-19 dans le quotidien des Français.

OPINION. Comme le confinement, le pass sanitaire et la vaccination signent un tournant dans la conception de la médecine, qui ne voit aucun problème à régir les libertés en fonction de la santé. L'analyse d’Henri Feng.

Auteur de deux enquêtes sur la vaccination anti-Covid-19 (Tous vaccinés ? et L’Affaire AstraZeneca, chez AC Prod), le journaliste Armel Joubert des Ouches a subi la censure des géants du numérique. Il alerte sur le pouvoir démesuré des GAFAM, qui imposent la ligne à suivre et empêchent le débat public.

Dans le sillage de sa dernière chronique, la psychologue Yoanna Micoud analyse en détail les traumatismes que la gestion de la crise sanitaire a pu générer chez les plus jeunes et chez les plus fragiles – notamment du fait du masque obligatoire à l'école –, et revient sur le vaste travail de propagande auquel se livre l'exécutif sur l'enfance (cliquez ici pour retrouver notre article détaillé sur cette question).

En 2020, le Covid-19 aurait provoqué une surmortalité de 9%, la plus forte hausse depuis la Seconde Guerre mondiale… Derrière ces déclarations fracassantes, les autorités passent sous silence une donnée pourtant essentielle : l’état de la démographie française. En réalité, selon le statisticien Pierre, qui anime la chaîne YouTube Décoder l’Éco, le Covid-19 n’a pas eu d’impact flagrant sur la mortalité en France, comme le ressasse le discours officiel.

Hier matin, Jérôme Salomon a indiqué que l’obligation de port du masque en extérieur pourrait être levée pour le 1er juillet, près d’un an après son entrée en vigueur. Des propos qui vont dans le sens de ce qu’a récemment laissé entendre Emmanuel Macron, mais aussitôt tempérés par le ministère de la Santé, qui semble décidément réticent à l’idée de laisser tomber cette mesure purement cosmétique.

CHRONIQUE. Après plus d'un an de gestion catastrophique de la crise sanitaire, les conséquences psychologiques sur la population sont nombreuses – particulièrement chez les enfants. Psychologue, Yoanna Micoud nous livre son témoignage, et quelques pistes de réflexions pour aider les plus fragiles à traverser cette période.

Depuis ce mercredi 9 juin, le très contesté pass sanitaire est mis en place. Et malgré les garanties avancées par le gouvernement, le dispositif montre de nombreuses limites en termes de protection des données personnelles et des libertés publiques.

Alors que la crise sanitaire touche à sa fin, l'heure des comptes et du contrecoup économique approche.  L'épargne des Français sera-t-elle la grande sacrifiée de l'après-Covid ? Directeur de l'association "Contribuables associés", Eudes Baufreton nous dit tout ce qu'il y a à savoir. 

Dans une note envoyée aux préfets, le ministre de l'Intérieur impute le « développement de faits extrêmement violents » aux « conséquences de la crise sanitaire». Mais déresponsabiliser le gouvernement et rejeter la faute sur un virus est assez facile…

OPINION. Le gouvernement a décidé l’année dernière de multiplier par deux l’éolien terrestre d’ici 2028. Lancée fin 2020, l’association Action Ecologie, qui rassemble aujourd’hui « plus de 10 000 membres issus de toute la France », vient de publier un rapport (disponible sur son site Internet) dédié à cette énergie renouvelable intitulé « Éoliennes : gouffre financier, désastre écologique ».

Les semonces de l'alarmisme sanitaire ne sont pas sans rappeler les prophéties cataclysmiques de certains écologistes… Explciations avec Bertrand Alliot, ingénieur maître en gestion de l'environnement et fin connaisseur des questions écologiques.

À l'occasion de la sortie de son livre Le jour d'après, édité chez Albin Michel, Philippe de Villiers présente sa vision de la crise et du bouleversement civilisationnel à l'oeuvre. Il appelle aussi à une insurrection des consciences face à une société de plus en plus liberticide.

Après recommandation par la Haute autorité de santé et validation d'Emmanuel Macron, la vaccination a été étendue aux adolescents de 12 à 18 ans. Le Dr. Fabien Quedeville nous explique en détail pourquoi une telle décision est une mauvaise idée.

Le 13 juin, le Luxembourg lèvera totalement le couvre-feu en place sur son sol. Si, dans son traitement de la crise sanitaire, le Grand-Duché n'échappe pas aux biais politico-médiatiques qui semblent être le lot de toute l'Europe, il n'en reste pas moins qu'il dispose d'une grosse longueur d'avance sur la France. Analyse sur place par Julien Albert.

COMMUNIQUÉ. En six mois d'existence, vous avez été très nombreux à soutenir notre média et l'information libre et indépendante. Grâce à votre soutien, et devant quelques difficultés que nous avons dû surmonter, Bas les Masques entame désormais une nouvelle étape de son développement. 

Entre aveuglement politique, jeu trouble des médias et avènement du traçage généralisé, l'économiste Philippe Murer fait la cartographie des grands ratés stratégiques de la gestion de la crise sanitaire... et des menaces qui pèsent désormais sur nos libertés.

Fabien Bouglé, militant écologiste, lanceur d'alertes et spécialiste des éoliennes, nous présente le documentaire Éoliennes : du rêve aux réalités. Pour Bas les Masques, il revient sur la face sombre de l'énergie éolienne, à la fois inefficace, coûteuse, et dangereuse pour l'environnement comme pour la santé publique.

Le pass sanitaire, la mesure liberticide de trop ? Pour Bas les Masques, le journaliste indépendant Didier Maïsto fait le bilan d'une année de restrictions aussi inutiles que délétères, et apporte des éléments d'explication à l'apathie de bien des Français, manifestement résignés à leur sort.

La mise en place du pass sanitaire – mesure liberticide et à l'efficacité douteuse – par le gouvernement est-elle un "flash totalitaire" ? C'est l'avis d'Éric Verhaeghe, entrepreneur et essayiste qui a répondu à nos questions sans langue de bois.

Un rapport publié par le groupe EPI-PHARE alerte sur la dégradation de la santé psychique des Français depuis un an. Un camouflet pour l’exécutif qui, en étant obnubilé par le Covid, a laissé un pan entier de la santé publique se délabrer.

Contre l'avis du gouvernement, l'Académie de médecine – rompue à l' alarmisme hors-sol – préconise de rendre le vaccin obligatoire pour certaines professions. Pour le Dr. Fabien Quedeville, une telle recommandation n'a absolument pas lieu d'être. Il nous explique les raisons à cela.

Pass sanitaire, QR Codes, obligation vaccinale, mais aussi requête adressée au Parlement européen pour enquêter sur les libertés publiques bridées tout au long de la crise sanitaire... Thibault Mercier, avocat et co-fondateur du Cercle Droit & Liberté, nous alerte sur les risques qui pèsent à long terme sur nos libertés, ainsi que sur les failles d'une justice bien trop souvent aux ordres du "sanitairement correct".

Dans son enquête Sars-CoV-2 : aux origines du mal aux éditions Belin, le journaliste Brice Perrier a étudié plusieurs pistes, dont l’hypothèse, au départ taxée de complotisme, de la fuite d’un laboratoire. Il démontre également comment la Chine et de prestigieuses publications scientifiques, ont imposé la ligne à suivre. Entretien.

Dans la droite ligne de ses analyses précédentes, le général Delawarde, observateur attentif de la crise, nous a transmis son point quand à la situation du Covid-19 sur le plan international à la mi-mai 2021.

Le 19 mai, les Français se sont rués sur les terrasses, rouvertes en grande pompe après de longs mois de fermetures injustifiées. Des scènes aussi nombreuses qu'éloquentes, que beaucoup ont vécu comme une "récompense", bien méritée après tant d'enfermements. Marie-Estelle Dupont décortique en détail les méchanismes psychologiques à l'oeuvre.

Traçage numérique, transhumanisme, intelligence artificielle... L'ingénieur physicien Philippe Guillemant explique comment la crise sanitaire a accéléré certains bouleversements sociétaux.

"À la question : est-ce que le passeport vaccinal ou le pass sanitaire est une mesure liberticide ? La réponse est oui." Claude Janvier, écrivain et contributeur de Bas les Masques, nous livre ici sa réaction à chaud à la mise en place du pass sanitaire, voté par le Sénat dans la nuit du 18 au 19 mai.

Entre des scientifiques anglais qui avouent avoir joué sur la peur pour faire respecter les gestes barrière et Karine Lacombe qui reconnaît "craindre que la vie s'arrête", la peur est au centre de la gestion de la crise. Marie-Estelle Dupont revient sur ce qui est devenu un véritable mode de gouvernance

La crise sanitaire a renforcé le contrôle de l’information sur les réseaux sociaux, les GAFAM menant désormais une véritable traque à toute parole discordante. Parmi eux, YouTube en est l’une des plus flagrantes illustrations, dont Bas les Masques a récemment fait les frais.

Alors que l’inutilité du masque en extérieur n’est plus à prouver, certaines préfectures ont décidé de ne plus l’exiger. Mais elles ont finalement fait marche arrière, cédant à la pression d’un exécutif obstiné à maintenir cette restriction, qui tient davantage du totem que de la mesure de santé publique.

Le professeur Philippe Parola, proche de Didier Raoult, s’est exprimé ce mardi midi sur CNews. Il fait à cette occasion le bilan de la gestion de la crise sanitaire, qu’il juge en grande partie conditionnée par la peur.

Certains épidémiologistes estiment que si la France avait moins de lits, les services de réanimation auraient été plus vite saturés, ce qui aurait conduit l’exécutif à prendre des mesures plus rapidement. Derrière ces modélisations douteuses, un cynique chantage au confinement.

Après la crise sanitaire, viendra la crise économique. Les cryptomonnaies, qui ont connu un essor sans précédent pendant la pandémie, sont-elles une alternative viable aux placements bancaires ? L'économiste Philippe Herlin nous explique en détail leur fonctionnement.

VIDEO. Sommes-nous à l'aube d'une nouvelle ère de soulèvements et de révoltes ? C'est la thèse du sociologue Michel Maffesoli, qui a reçu Bas les Masques pour un grand entretien. Retrouvez la première partie de notre rencontre ici.

(Partie 2/2)

Y aura-t-il un avant Covid et un après Covid ? La pandémie, et la stratégie de la peur permanente qui l'a accompagnée, est-elle le baroud d'honneur d'une certaine caste élitaire en fin de course ? Autant de questions auxquelles le sociologue Michel Maffesoli, auteur de "L'ère des soulèvements" (éd. du Cerf), a répondu dans ce grand entretien.

(Partie 1/2)

Pass sanitaire, mesures d'exception... Le projet de loi de sortie d’état d’urgence sanitaire a été voté en première lecture lundi 11 mai à l’Assemblée nationale. Mais pour l’avocat Me Clarisse Sand, rien n’indique que l’on en sortira de sitôt. Bien au contraire.

Libertés publiques menacées, stratégie du tout-vaccinal, pass sanitaire... Nous nous sommes entretenus avec Louis Fouché, anesthésiste-réanimateur à Marseille et porte-parole du collectif "RéinfoCovid".

Publiée dimanche dernier, une seconde tribune de militaires est venue soutenir la première, qui avait fait grand bruit il y a quelques semaines. Le général (2S) Dominique Delawarde, signataire de ladite tribune et contributeur de Bas les Masques, nous livre son analyse de l'exaspération qui s'empare des Français.

La neuroscientifique Perrine Ruby, spécialiste des rêves, a étudié plusieurs milliers de témoignages de rêves depuis le début de la crise sanitaire. Bilan après plus d’un an de crise : en plus de bouleverser nos journées, la pandémie a également bouleversé nos nuits.

Dans la droite ligne de ses analyses précédentes, le général Delawarde, observateur attentif de la crise, nous a transmis son point quand à la situation du Covid-19 sur le plan international.

Trente ans après son fameux Temps des tribus, le sociologue décrit dans un nouvel essai le déclin du rationalisme moderne, qui s’est exprimé dans cette crise. Une esquisse implacable de la réaction autoritaire d’une élite à un changement de paradigme, qui amènera selon lui à un soulèvement légitime du peuple.

Le Conseil d’État a rejeté la demande de personnes immunisées, par les anticorps ou le vaccin, qui réclamaient la possibilité d’échapper aux restrictions de liberté. Après une première affaire similaire, la décision reste la même… mais pas les motivations.

Après un an de recul, plusieurs études mettent en lumière l’impact des restrictions sanitaires sur les personnes atteintes d’Alzheimer. Si ces dernières sont plus vulnérables aux formes graves du Covid, le fait d’avoir été enfermées a aussi pu aggraver la maladie.

Dans un ouvrage paru aux éditions Guy Trédaniel, le journaliste Xavier Bazin révèle la face noire du système mondial de santé. Traitements, vaccins, prévention, conflits d’intérêts… Il revient pour Bas les masques sur l’influence de l’industrie pharmaceutique sur la crise sanitaire.

OPINION. Il aura fallu une année de restrictions et trois confinements pour que l'exécutif se pose la question de la vivabilité de telles mesures. HenrI Feng, essayiste et contributeur régulier à Bas les Masques, nous livre une analyse sans concession des paradoxes macroniens : libéralisme, certes, mais sans libertés.

En janvier, des scientifiques britanniques avaient publié une tribune dans la revue scientifique Virulence, affirmant qu'une vaccination des animaux domestiques pourrait s'avérer nécessaire. La Russie a annoncé avoir homologué le sérum Carnivac-Cov, destiné aux animaux de compagnie. Et si elle n'est pas à l'ordre du jour, l'idée est aussi discutée en France. Mais pour la vétérinaire Danièle Guieu, vacciner les animaux de compagnie n'a, à ce jour, aucun sens, et pourrait même aggraver la situation.

Malgré la nouvelle charge des médecins enfermistes franciliens, Emmanuel Macron veut faire comprendre que le timide calendrier de déconfinement annoncé le 29 avril sera tenu coûte que coûte.

Depuis quelques jours, le hashtag #NonAuPassDeLaHonte fait partie des tendances les plus partagées sur Twitter, suivi désormais par #NonAuPassSanitaire. Une nouvelle fois, les réseaux sociaux illustrent la montée de la contestation face à une mesure particulièrement décriée.

Une fois encore, vaccination ne veut pas dire libération. Opposés devant le Conseil d'État dans le cadre d'un référé déposé par un octogénaire vacciné désirant être exempté des restrictions, les avocats Me Protat et Me Teissedre débattent des mesures discriminatoires entre les vaccinés et non vaccinés.

EPISODE 8

À l’occasion du premier anniversaire de la crise sanitaire, Bas les masques vous propose un retour hebdomadaire sur les différentes étapes qui ont jalonné cette année cauchemardesque. Cette semaine, le huitième épisode revient sur la lassitude grandissante d’une partie de la population à l’approche de la sortie du confinement, qui s’est vue pointée du doigt pour son « relâchement ».

REPORTAGE. Service de sécurité, banderoles, intervenants... Plusieurs collectifs avaient tout prévu pour se rassembler et exprimer leur volonté de retrouver leurs libertés perdues durant la crise sanitaire. Mais la Préfecture de Police de Paris leur a refusé ce droit, malgré un référé liberté déposé par Me Fabrice Di Vizio. Pour autant, les manifestants ont néanmoins décidé d'être présents aux Invalides à Paris.

Derrière la gestion catastrophique de la crise sanitaire, qui a perduré plus d'un an durant, on retrouve le même problème initial : l'organisation du système hospitalier, excessivement bureaucratique et inadaptée aux réalités du terrain. Marie-Estelle Dupont fait le bilan.

Des chercheurs américains estiment que seule une bonne ventilation est utile pour limiter la propagation du Sars-CoV-2, comme c’est le cas en extérieur. Fixer des jauges dans les lieux clos serait donc inutile.

Après la mise en place des chèques psy pour les étudiants et son extension aux enfants, la psychologue Marie Estelle Dupont explique à Bas les Masques en quoi cette mesure est particulièrement contestable.

Conséquence de la politique enfermiste menée depuis plus d’un an, l’engouement des urbains à s’éloigner des métropoles a fait augmenter les prix de l’immobilier. Au risque de déséquilibrer davantage un marché déjà très tendu, dont les plus modestes sont progressivement exclus.

Alors que s'amorce un relâchement progressif des restrictions, la santé mentale des Français à été lourdement impactée. Pour Bas les Masques, Marie Estelle Dupont fait le point sur la situation.

EPISODE 7

À l’occasion du premier anniversaire de la crise sanitaire, Bas les masques vous propose un retour hebdomadaire sur les différentes étapes qui ont jalonné cette année cauchemardesque. Cette semaine, le septième épisode revient sur l’arrivée de Jean Castex, chargé de la sortie du confinement au printemps 2020.

Enjeux financier des vaccins, passeport sanitaire et sortie de crise encore incertaine, le journaliste et écrivain Claude Janvier, auteur de l'ouvrage "le virus et le président", nous livre son regard sur l'actualité.

Après un premier livre paru en juin, le professeur Christian Perronne revient à la charge contre la gestion de la crise sanitaire. Dans son nouvel ouvrage, Décidément, ILS n’ont toujours rien compris !, paru chez Albin Michel, il dénonce la disproportion entre les restrictions sanitaires et la réalité et s’inquiète du recul de la liberté d’expression. Il a répondu aux questions de Bas les Masques.

La psychologue Marie-Estelle Dupont revient sur les timides annonces du gouvernement ce jeudi 22 avril. Après un an de crise, elle constate un épuisement généralisé de ses patients.

La notion juridique de "mise en danger de la vie d'autrui" aura servi, tout au long de la crise sanitaire, de justification angélique aux restrictions les plus absurdes contre les comportements les plus anodins. Contributrice régulière à Bas les Masques, Me Clarisse Sand, avocate, nous livre une analyse juridique détaillée de ces errements (initialement intitulée : Crise sanitaire et mise en danger de la vie d'autrui : une incrimination honteusement dévoyée).

Xavier Lemoine, maire de Montfermeil en Seine-Saint-Denis, a appelé à la désobéissance civile contre des restrictions sanitaires qu’il juge disproportionnées. Traitements précoces, pressions, santé de ses administrés… Pour Bas les Masques, il détaille sa vision de la crise et témoigne de son expérience en tant qu’élu.

Alors que les retombées des restrictions sanitaires sur la santé mentale des Français se font chaque jour plus nombreuses, le gouvernement y répond par des sous-mesures (les fameux "chèques psy", par exemple). Cela suffira-t-il pour pallier l'afflux de séquelles psychologiques qui s'annonce ? Le Dr. Fabien Quedeville fait le point.

L’IHU de Marseille a reçu vendredi 16 avril Jean-François Toussaint, professeur de physiologie et directeur de l’IRMES, pour une conférence sur le thème « épidémiologie de la Covid-19 ». Bas les Masques revient sur les principaux points abordés lors de cette intervention.

Des études scientifiques récentes montrent que le risque de contamination à l'extérieur est quasi-nul et que les personnes sédentaires sont les plus à risque de contracter des formes graves. Malgré ces constats, le port du masque est imposé sur certaines plages et le couvre-feu reste en vigueur, limitant les possibilités de sorties. Le docteur Fabien Quedeville dénonce des mesures qui ne reposent sur aucune base sérieuse.

Nicolas Vidal, journaliste indépendant et auteur du livre Médias, le grand errement, nous livre ici son analyse du traitement de l'information autour de la crise sanitaire par les grands médias.

Alors que le gouvernement compte beaucoup sur la vaccination pour sortir de la crise, les interrogations subsistent, notamment en raison d'une défiance grandissante à l'égard d'AstraZeneca. Au regard de ses constats sur le terrain, le docteur Fabien Quedeville fait le point sur la question des vaccins.

Chiffres de l'épidémie, traitement à l'ivermectine, utilisation des autotests ou encore arrivée du variant brésilien, le docteur Fabien Quedeville a répondu aux questions de Bas les masques sur l'actualité de la situation sanitaire

Fondateur du média indépendant Putsch et éditorialiste politique sur RT France, le journaliste Nicolas Vidal est un farouche opposant à la « pensée unique » qui sévit dans le monde médiatique. Dans son essai intitulé Médias : le grand errement (éditons Hugo & Cie) il livre une analyse sans concession de la défiance des Français à l’égard des grands supports d’information. En illustrant son propos, notamment, par le traitement de la crise sanitaire

Pour Bas les Masques, le professeur Jean-François Toussaint livre une analyse sans concession sur les limites de l'utilisation des modélisations, et notamment celle utilisée par l'Institut Pasteur affirmant qu'une vaccination à hauteur de 90% est nécessaire pour un retour à la vie normale.

Une étude de l’Institut Pasteur estime que l’immunité collective ne sera pas atteinte avant d’avoir vacciné 90% de la population adulte, seule condition pour un retour à la vie normale. Mais pour le docteur Fabien Quedeville, ces modélisations manquent de réalisme et d’un réel cap à tenir.

D’après une étude menée sur l’observation des chiffres en Irlande, seulement 0,1 % des contaminations auraient eu lieu en plein air. Ce qui confirme que le meilleur moyen de limiter l’épidémie passe par davantage de temps en extérieur.

Le certificat sanitaire européen, élaboré par Bruxelles pour le 15 juin prochain, est développé par un consortium français. En réalité, le projet d’un carnet de vaccination européen est déjà dans les tiroirs depuis longtemps.

2020 aura été une année catastrophique pour de nombreux secteurs économiques, et celui de la publicité ne fait pas exception – sauf pour le digital. Mais après la crise sans précédent liée à la pandémie, l’année en cours devrait néanmoins permettre un léger rebond.

Une étude publiée dans le Journal of infections diseases met en avant le rôle que pourrait jouer un simple rhume dans la protection contre le Covid.  

Les derniers chiffres montrent une nette dégradation de la santé mentale des Français au mois de février en raison des restrictions sanitaires, contraignant ainsi le gouvernement à organiser une réunion sur ce thème à Matignon le 22 mars dernier. Mais pour la psychologue Marie-Estelle Dupont, le problème vient surtout d'une approche de la médecine qui se concentre uniquement sur le soin sans se préoccuper du bien-être de la personne dans son ensemble. Explications.   

EPISODE 3

À l’occasion du premier anniversaire de la crise sanitaire, Bas les Masques vous propose un retour hebdomadaire sur les différentes étapes qui ont jalonné cette année cauchemardesque. Cette semaine, le troisième épisode revient sur le confinement, les attestations et les dérives des contrôles.

L'épidémiologiste et contributeur régulier de Bas les Masques Laurent Toubiana publie une nouvelle étude sur la mortalité en 2020, que nous vous présentons ici. Verdict : la pandémie n'aura eu qu'un impact faible sur la mortalité en France.

Saturation, profil des personnes hospitalisées, organisation de l’hôpital… Le docteur Olivier de Soyres, anesthésiste réanimateur à Toulouse revient sur la situation des services de réanimation. Il explique notamment que l’on aurait pu mettre en place une stratégie permettant d’augmenter ces services, dont la saturation sert de justification à des restrictions sanitaires.

Après un an d’enfermement injustifié, le gouvernement invite désormais les Français à s’aérer au nom à grand renfort du slogan « dedans avec les miens, dehors en citoyen » tout en maintenant l’obligation du port du masque en extérieur. Face à cette injonction contradictoire, le docteur Fabien Quedeville lance une pétition pour demander la suppression de cette mesure.

C'est peut-être la conséquence à long terme la plus terrible de cette année : du fait des restrictions prétendument sanitaires, le nombre de naissances a périclité. Un "Baby Krach", reflet pervers du bien connu "Baby Boom", se profile, nous dit Marie-Estelle Dupont. Faut-il s'en inquiéter ?

Alors que le gouvernement s’entête à prendre des mesures restrictives, trop d’étudiants et de personnes isolées continuent à souffrir dans la plus grande indifférence. Aussi, Bas les Masques a décidé d’ouvrir un groupe Facebook pour permettre de favoriser les échanges et les rencontres entre ceux qui en ont le plus besoin.

Article publié par Jean-François Toussaint sur le blog Médiapart de Laurent Mucchielli, et reproduit ici avec son aimable autorisation.

"Le professeur Jean-François Toussaint poursuit son analyse des évolutions actuelles de l’épidémie de coronavirus. Il répond à l’occasion aux journalistes auteurs de fantaisies récentes et aux propos fort peu responsables de certains savants."

Dans sa traditionnelle conférence de presse du jeudi soir, le Premier ministre a annoncé un confinement dès vendredi minuit pour 4 semaines dans 16 départements. En prétendant « freiner sans enfermer », le gouvernement s’entête à prendre des mesures qui détruisent l’économie du pays et le moral de plus de 20 millions de Français.

Face à la montée en flèche de la courbe des réanimations, le gouvernement pourrait mettre sous cloche plusieurs territoires, dont l’Île-de-France, d’ici ce soir. En réalité, la situation des services de réanimation est beaucoup moins alarmante que ce qui est présenté.

Si l'on en croit le gouvernement, il est à peu près certain que l'Île-de-France sera de nouveau confinée. Le Dr. Fabien Quedeville détaille toutes les raisons pour lesquelles une telle mesure serait aussi injustifiée que désastreuse.

Prise en compte des effets secondaires, efficacité, suivi des patients... Après la suspension de l'utilisation du vaccin AstraZeneca par la France, le Dr Fabien Quedeville analyse la confusion généralisée dans laquelle navigue le gouvernement dans sa stratégie vaccinale, et propose des pistes d'amélioration.

Influenceurs, budget com’ en augmentation, temps de parole non contrôlé… À un an de la présidentielle, l’Élysée a bien compris comment la crise du Covid-19 pouvait servir ses politiques. Et ce, quitte à franchir la ligne rouge entre communication et propagande.

Alors que des collectifs de parents d'élèves dont Enfance et Liberté se préparent à manifester demain contre le port du masque à l'école, la psychologue Marie-Estelle Dupont fait le bilan catastrophique de trois mois d'application de cette mesure.

Le pass sanitaire, billet pour une sortie de crise ou idée dangereuse ? Fabien Quedeville, médecin généraliste, détaille son point de vue sur la question.

Malgré la multiplication des tests qui donnent des chiffres élevés de "cas positifs", le nombre de malade n'augmente pas pour autant. L'épidémiologiste Laurent Toubiana explique en quoi les indicateurs utilisés pour maintenir des mesures restrictives ne reflètent aucunement la réalité de l'épidémie.

En écho à sa tribune récemment publiée en exclusivité sur Bas les masques, le docteur Fabien Quedeville revient sur l'inutilité des mesures restrictives en vigueur et appelle à une sortie de crise rapide.

Dans une note récente, l'INSEE annonce une surmortalité de 14% sur la période du 1er janvier au 15 février 2021 par rapport à l'année dernière. Des chiffres à prendre avec des pincettes selon l'épidémiologiste Laurent Toubiana, qui revient sur les biais inhérents à ce type de calcul.

Alors que le gouvernement s'entête à maintenir un niveau élevé de restrictions, la réalité du terrain indique que l'épidémie est en baisse. Le médecin généraliste Fabien Quedeville fait le point au regard des chiffres relevés par le réseau Sentinelles.

Alors que de futurs "états généraux" sont annoncés pour tenter de répondre à la détresse de la jeunesse, la psychologue Marie-Estelle Dupont revient sur l'émission consacrée à ce sujet qu'elle a animé pour Bas les masques. Et lance un appel pour rompre l'isolement des jeunes en souffrance.

Le 4 mars, journée mondiale de l'obésité, est l'occasion de rappeler que c'est là l'un des effets secondaires les plus délétères des restrictions sanitaires : la diminution considérable de la pratique sportive a entraîné, mécaniquement, une hause drastique de l'obésité, notamment chez les enfants. Alors même que l'obésité est un des principaux facteurs aggravants du Covid-19 (les pays où le taux d'obésité est important ayant une mortalité plus élevée), les deux pathologies risquent de se nourrir mutuellement, nous dit le Dr. Fabien Quedeville.

Le professeur Jean-François Toussaint revient sur les raisons qui auraient justifié le placement de 20 départements en surveillance renforcée... et sur les potentiels risques de telles restrictions sur la capacité hospitalière.

Encore "quatre à six semaines à tenir" avec le couvre-feu à 18h, d'après Emmanuel Macron et Olivier Véran. Marie-Estelle Dupont, psychologue clinicienne, revient sur les contrecoups psychologiques – souvent désastreux – de telles restrictions lorsqu'elles s'étalent dans le temps.

Emmanuel Macron envisage plusieurs pistes de sortie de crise, parmi lesquelles l’idée d’un « pass sanitaire » pour pouvoir retourner dans les lieux publics comme les cinémas, les musées ou encore les restaurants. Une proposition fortement controversée et qui pose question sur le plan éthique, mais aussi en terme de sécurité numérique.

Retrouver une « vie normale » au plus vite, mais à quel prix ? Une question qui semble récurrente, tant les propositions plus ou moins douteuses foisonnent depuis le début de la crise sanitaire. Après la consultation sur le passeport vaccinal lancée par le CESE (en ligne jusqu’au 7 mars prochain), c’est un autre ballon d’essai qu’a lancé le président de la République le 25 février dernier en évoquant l’idée d’un « pass sanitaire ». Cette fois, l’idée serait de rouvrir les lieux publics sans forcément conditionner leur accès à la vaccination… mais en fournissant la preuve d’un test négatif.

Bas les masques a interrogé le professeur Toussaint sur ce sujet :

Avant les récentes prévisions de l'Institut Pasteur de Lille qui annoncent une nouvelle flambée épidémique pour le mois de mars, l'INSERM avait prévu, en janvier dernier, une augmentation exponentielle pour le mois de février qui ne s'est finalement pas produite. Le professeur Jean-François Toussaint revient pour Bas les masques sur les limites de ces modèles prédictifs.

OPINION. Le Covid-19 a su le révéler au grand monde, mais les germes étaient déjà présents : le transhumanisme idéologique, épaulé par le contrôle et la surveillance généralisés, est- il l'évolution logique des démocraties libérales ? Et, surtout, ce processus est-il irréversible ?

Une année de pandémie aura suffit à rompre le débat, et avec lui, la pensée. La psychologue et psychanalyste Delphine Bensaïd s'interroge dans ce texte sur la possibilité de retrouver ce que la crise nous aura pris. Une prise de hauteur salutaire en ces temps troubles.

Dans la droite ligne de son article publié la semaine dernière sur Bas les Masques, l'historienne Virginie Girod décortique (en vidéo !) les ressorts de la communication gouvernementale tout au long de la crise sanitaire. Une publicité qui n'a rien à envier à la propagande d'antan... Bien au contraire ! 

Alors que le couvre-feu se poursuit, que l'on entend de nouveau parler de "reconfinement" et que certaines zones sont d'ores-et-déjà soumises à ces restrictions, où en est la pandémie ? Jean-François Toussaint fait le point.

Détresse psychologique, restrictions sanitaires injustifiées, précarité... La question des étudiants, sommés de souffrir pour leurs aînés "quoi qu'il en coûte", a de quoi préoccuper. Marie-Estelle Dupont, psychiatre clinicienne et contributrice régulière de Bas les Masques, a choisi d'animer une grande table ronde pour sensibiliser à cette question, trop largement occultée par la parole dominante. Sont invités à témoigner et à débattre l'épidémiologiste Martin Blachier,  Laurence Couvreur, coach, ainsi que Clarisse, Blandine et Heïdi, étudiantes. 

Médecin et docteur en philosophie spécialisé dans l’éthique de la santé, le docteur Alain de Broca s’inquiète du syndrome de glissement, qui provoque le décès des personnes âgées isolées. Il alerte sur l’urgence de permettre aux résidents d’Ehpad immunisés de retrouver une vie sociale et familiale, dont ils sont privés depuis des mois.

Le port du masque, obligatoire à l’école dès l’âge de 6 ans, est pour les enfants une grande source d’angoisses et de difficultés. En décembre dernier, la psychologue Marie-Estelle Dupont avait fait part à Bas les masques de sa préoccupation face à cette mesure disproportionnée qui empêche les enfants de vivre sereinement leur scolarité. En janvier, nous avions également reçu Roxane Chafei, membre du collectif « enfance et liberté » qui dénonce les conséquence de cette réglementation sur les enfants et milite activement pour la suppression de l’obligation du port du masque à l’école.

Plusieurs mois après, les pouvoirs publics ne semblent pas prendre la mesure de cette situation, alors même que les cas de dépressions et d’idées suicidaires se multiplient aujourd’hui chez les enfants et qu’un nombre grandissant de spécialistes (médecins, pédiatres, pédopsychiatres…) alertent sur les conséquences dramatiques du protocole sanitaire à l’école.

Pour mieux cerner les enjeux relatifs à cette cause nous vous proposons aujourd’hui de découvrir Monde à l’envers, un petit film poignant réalisé par Roxane Chafei, dans lequel plusieurs parents racontent les témoignages de leurs enfants et expriment, avec leur voix, toute cette souffrance à l’école que les grands médias passent sous silence.

Santé publique, système hospitalier, stratégies gouvernementales... Économiste de la santé et ancien directeur général des hopitaux de France, Jean de Kervasdoué fait le bilan d'un an de gestion française de l'épidémie.

L’amélioration de la situation sanitaire ces dernières semaines a démontré que la mise en place d’un nouveau confinement, pourtant annoncé comme inéluctable pour ralentir l’épidémie de Covid 19, n’était pas nécessaire.

Communication moralisatrice, prises de position catastrophistes, gestion de la crise chaotique… Selon une enquête, les médecins jugent que le ministre de la Santé n’a pas été à la hauteur de la crise sanitaire.

La crise de la Covid a été l’occasion d’un processus historiquement inédit de contrôle de l’information à l’échelle mondiale. Quatre types d’acteurs y ont des intérêts convergents : 1) les gouvernements occidentaux libéraux, 2) le tandem que forment l’OMS et son grand financeur Bill Gates, 3) les « géants du numérique » qui contrôlent les réseaux sociaux mais aussi et de plus en plus 4) les médias

Cet article a originellement été publié sur le blog du sociologue Laurent Mucchielli

L’épidémiologiste Didier Pittet, spécialiste de l’hygiène, a récemment expliqué que le virus se transmettait essentiellement par les mains. Ce que Didier Raoult indique depuis le début.