Sorti le 20 avril dernier, le livre de Laurent Toubiana « Covid-19 : une autre vision de l’épidémie » (éd. L’Artilleur et Bas les Masques) a fait une belle percée médiatique en un mois, permettant de faire sauter peu à peu la censure qui a entouré le sujet de la crise sanitaire durant plus de deux ans.
Face à la grande pénurie de saisonniers qui s'annonce cet été, l'UMIH (Union des métiers et des industries de l'hôtellerie) a proposé de faire venir des travailleurs tunisiens. Une idée démagogue, selon le restaurateur Christophe Chirat, qui, au lieu de résoudre le problème de fond, va accentuer la précarisation de la profession, amorcée par le changement des habitudes des clients à la suite des restrictions sanitaires.
Dans un rapport se donnant curieusement pour objectif d'« écarter le risque d’une société de surveillance », trois membres de la commission des lois du Sénat recommandent d'expérimenter la reconnaissance faciale sur le territoire français. Une démarche d'apparence bien intentionnée, mais qui cache la validation implicite de la surveillance généralisée.