Le traitement du laboratoire Eli Lilly va être déployé dans les hôpitaux ce mois de mars. Mais les liens étroits que la firme américaine entretient au sein de l’appareil d’État interrogent, d’autant plus que les éléments censés prouver l’efficacité de la molécule peinent à convaincre certains experts.
Avant les récentes prévisions de l'Institut Pasteur de Lille qui annoncent une nouvelle flambée épidémique pour le mois de mars, l'INSERM avait prévu, en janvier dernier, une augmentation exponentielle pour le mois de février qui ne s'est finalement pas produite. Le professeur Jean-François Toussaint revient pour Bas les masques sur les limites de ces modèles prédictifs.
En dépit d’une relative stabilité de l’épidémie, certaines voix s’entêtent à réclamer un reconfinement au motif d’éviter un accroissement de la tension hospitalière. Dans ce contexte, il serait bon d’entendre la Fédération des cliniques et hôpitaux privés de France qui propose d’augmenter les lits de réanimation. Ce qui permettrait de décharger les hôpitaux et d’en finir avec les mesures restrictives.
Dans la droite ligne de son article publié la semaine dernière sur Bas les Masques, l'historienne Virginie Girod décortique (en vidéo !) les ressorts de la communication gouvernementale tout au long de la crise sanitaire. Une publicité qui n'a rien à envier à la propagande d'antan... Bien au contraire !
Détresse psychologique, restrictions sanitaires injustifiées, précarité... La question des étudiants, sommés de souffrir pour leurs aînés "quoi qu'il en coûte", a de quoi préoccuper. Marie-Estelle Dupont, psychiatre clinicienne et contributrice régulière de Bas les Masques, a choisi d'animer une grande table ronde pour sensibiliser à cette question, trop largement occultée par la parole dominante. Sont invités à témoigner et à débattre l'épidémiologiste Martin Blachier, Laurence Couvreur, coach, ainsi que Clarisse, Blandine et Heïdi, étudiantes.
Médecin et docteur en philosophie spécialisé dans l’éthique de la santé, le docteur Alain de Broca s’inquiète du syndrome de glissement, qui provoque le décès des personnes âgées isolées. Il alerte sur l’urgence de permettre aux résidents d’Ehpad immunisés de retrouver une vie sociale et familiale, dont ils sont privés depuis des mois.
Le port du masque, obligatoire à l’école dès l’âge de 6 ans, est pour les enfants une grande source d’angoisses et de difficultés. En décembre dernier, la psychologue Marie-Estelle Dupont avait fait part à Bas les masques de sa préoccupation face à cette mesure disproportionnée qui empêche les enfants de vivre sereinement leur scolarité. En janvier, nous avions également reçu Roxane Chafei, membre du collectif « enfance et liberté » qui dénonce les conséquence de cette réglementation sur les enfants et milite activement pour la suppression de l’obligation du port du masque à l’école.
Plusieurs mois après, les pouvoirs publics ne semblent pas prendre la mesure de cette situation, alors même que les cas de dépressions et d’idées suicidaires se multiplient aujourd’hui chez les enfants et qu’un nombre grandissant de spécialistes (médecins, pédiatres, pédopsychiatres…) alertent sur les conséquences dramatiques du protocole sanitaire à l’école.
Pour mieux cerner les enjeux relatifs à cette cause nous vous proposons aujourd’hui de découvrir Monde à l’envers, un petit film poignant réalisé par Roxane Chafei, dans lequel plusieurs parents racontent les témoignages de leurs enfants et expriment, avec leur voix, toute cette souffrance à l’école que les grands médias passent sous silence.
Les avocats du Cercle Droit & Liberté saisissent le tribunal administratif contre l’arrêté du Préfet de Police de Paris interdisant la consommation d’alcool dans certaines rues de Paris sous prétexte de lutte contre la COVID-19.
Avec l'autorisation du Cercle Droit & Libertés, nous relayons ce communiqué de presse. Retrouvez-le également sur le site du collectif.
Avocat au barreau de Toulouse, Me Pierre Alfort a refusé de plaider avec un masque lundi dernier. Une restriction démesurée, nous a confié l’intéressé, qui l’entrave dans sa capacité à défendre pleinement ses clients. Face à l’insistance de la présidente du tribunal pour enfants, l’avocat a dû demander le report de l’audience.
La crise de la Covid a été l’occasion d’un processus historiquement inédit de contrôle de l’information à l’échelle mondiale. Quatre types d’acteurs y ont des intérêts convergents : 1) les gouvernements occidentaux libéraux, 2) le tandem que forment l’OMS et son grand financeur Bill Gates, 3) les « géants du numérique » qui contrôlent les réseaux sociaux mais aussi et de plus en plus 4) les médias
Cet article a originellement été publié sur le blog du sociologue Laurent Mucchielli
De nombreux Français ont été scandalisés par les publicités culpabilisatrices du Ministère des Solidarités et de la Santé au sujet des gestes barrières. La publicité au service de la santé publique mettait autrefois en scène des valeurs comme le patriotisme et le sens de la responsabilité. Elle joue aujourd’hui sur la peur en utilisant le marketing de la honte.
Vaccination, complotisme, restrictions sanitaires... Silvano Trotta, chef d'entreprise et figure connue de ce que les milieux convenus aiment à appeler "complosphère", et Laurent Alexandre, médecin et essayiste, ne sont de fait en accord sur à peu près aucun sujet. Bas les Masques leur a proposé régler leurs différends par les mots, en vidéo.
Alors que des députés viennent de déposer une proposition de loi visant à reconnaître le Covid long et mieux prendre en compte ses séquelles, le nombre de malades atteints reste encore très difficile à établir précisément. Et pour certains, la situation reste particulièrement difficile à vivre. Henri, l’un d’entre eux, a choisi de témoigner en exclusivité pour Bas les masques. Il nous raconte ses difficultés, revient sur la question du refus de soin qu’il a subi et nous explique les actions de l’Association Victimes Coronavirus Covid 19 France (AVCCF) représentée par Maître Fabrice Di Vizio.
Dans une tribune publiée sur Le Monde le 15 février, un collectif de scientifiques internationaux appelle à une stratégie « zéro covid » dont l’objectif n’est pas seulement d’aplatir les courbes de contamination mais d’éliminer le virus en créant des zones vertes sans contamination. Si l’objectif peut sembler louable, cette stratégie s’inspire ouvertement des exemples chinois, australiens ou néo-zélandais, qui ont été parmi les plus restrictifs au monde. Ce qui n’a rien d’étonnant au vu des signataires de la tribune, parmi lesquels on retrouve de nombreux adeptes des mesures coercitives comme Antoine Flahault ou Karine Lacombe.
L’agitation en faveur des mesures de confinement portée par certains scientifiques pourrait être liée à des considérations davantage politiques que sanitaires. Et semblerait émaner en particulier de personnalités dont le parcours montre une collusion entre le Parti Socialiste et l’AP-HP. Jusqu’à imaginer une tentative de sabotage de la fin du quinquennat d’Emmanuel Macron, en lui faisant porter la responsabilité des atteintes aux libertés qui rythment nos vies depuis près d’un an ?
Places en "réa", hospitalisations, nombre de cas... Comment les différents indicateurs relayés par les médias et par le gouvernement ont instauré une atmosphère de peur perpétuelle ? Malgré des erreurs factuelles, ce constat tiré par une vidéo devenue virale est pertinent. C'est pourquoi nous choisissons de la relayer sur baslesmasques.com, tout en en corrigeant les inexactitudes.