2045 : être ARN ou ne pas être Abonnés
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Le présent morose annonce-t-il un futur sombre ? C'est ce que redoute notre contributeur Henri Feng, qui évoque dans ce billet la fuite en avant techno-scientifique qui transforme actuellement nos sociétés.

Quel enfer aujourd’hui ! Il ne me reste plus que la nostalgie. Dans les années 90-2000, je pouvais danser et chanter avec les copains. Avec ou sans alcool, mais un peu quand même ! On était tous « happy » à la bonne heure. Puis, peu à peu, les sociétés pratiquant à l’envie le capitalisme financier ne voyaient rien d’autre à faire que de prospérer sur le principe de la précarisation forcée, un misérabilisme tant éthique que technologique. Du pseudo-travail à vélo ou de son lit. Concomitamment, dès 2019, la machine s’est intégralement emballée. Un virus respiratoire répondant au nom de code de Sars-Cov-2 a subitement envahi la Terre. L’origine : Wuhan, en Chine. Beaucoup ont spéculé sur le sujet.
Dès la fin de l’été 2020, les plus grandes autorités politiques mondiales ont commandé des vaccins, tout en montrant clairement leur préférence pour une formule révolutionnaire : l’« ARN messager ». Ici et là, on lisait des explications « rassuristes » : « Pour imager, les ARN messagers sont des petites molécules qui contiennent la recette de cuisine pour que les cellules puissent fabriquer une protéine donnée. Toutes les cellules possèdent des ARN, qui leur permettent de fabriquer les protéines dont elles ont besoin. Le principe du vaccin à ARN messager, c’est de donner à la cellule un ARN messager en plus de tous ceux qu’elle a déjà, qui lui permet de fabriquer une protéine en plus de toutes celles qu’elle a déjà. La cellule fait un travail qu’elle a déjà l’habitude de faire, mais avec une nouvelle protéine qui va ensuite être reconnue par le système immunitaire. » Redondant et alambiqué, tout ça.
Il fallait l’accepter : être non vacciné à l’ARN mettait au ban de la société. Alors, j’ai accepté. Depuis lors, on est obligé de montrer son QR code à n’importe quelle structure. Le chimiquement pur, comme horizon indépassable. Il fallait...
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Crise d'identité, individualisme, perte des repères traditionnels... en pleine polémique autour de l'autorisation du burkini dans les piscines de Grenoble, Bas les Masques reçoit Edouard de Praron, auteur du livre "Dépossession" (éd. Presses de la Délivrance) qui aborde toutes ces thématiques sans langue de bois.
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Si le rachat de Twitter par Elon Musk semble être une bonne nouvelle pour les défenseurs de la liberté d'expression, l'adoption du Digital Services Act au niveau européen fait peser une sérieuse menace. Décryptage avec Guillaume Leroy, doctorant en droit pénal des affaires et membre du Cercle Droit & Liberté.
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