Macron, Davos, McKinsey... Les visages du mondialisme Abonnés
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La réélection d'Emmanuel Macron, nouvelle illustration de la victoire d'un mondialisme conquérant, destructeur des États-nations et des souverainetés nationales au profit des grands groupes ? Un billet de réflexion philosophique par notre contributeur Henri Feng.

Le 7 mai, Emmanuel Macron a été réinvesti, et ce, deux semaines après les résultats du second tour de l’élection présidentielle. Un deuxième mandat approuvé par un certain peuple français, celui qui semble dire oui au projet de défrancisation qu’entreprend l’ancien banquier d’affaires depuis 2017, de financiarisation, de numérisation des activités et des individus, en dépit même d’une cascade d’affaires qui auraient dû détruire la Macronie : celles concernant Alexis Kohler, le patrimoine du Président, Sanofi, Alexandre Djouhri, Alstom, le rachat du quotidien Le Monde, etc. Mais des affaires révélées seulement sur la Toile (enquête du média Off Investigation), in fine un des terrains de jeux de l’« enfant du système » (Loi Avia et Arcom). Clairement, la liquidation de notre État-nation s’opère au nom et du fédéralisme européen et du mondialisme post-humain. Actuellement, un garde à vous de néo-protestants contre la Russie, quitte à causer le pire : une durable stagflation et une nouvelle guerre froide. En fait, une stratégie de l’angoisse perpétuelle pour garantir à une oligarchie le contrôle des populations, une annihilation définitive de toute volonté d’indépendance, de souveraineté nationale.
Depuis 2007, les crises sanitaire énergétique, bancaire se succèdent pêle-mêle, puisque c’est le même ordre qui les génère en se délestant des conséquences sur lui-même : l’ordre libéral-libertaire. D’ailleurs, la dernière crise pandémique (produit d’une zoonose que l’industrie agroalimentaire provoque en ne freinant plus la chaîne de production, le tout rendant impératifs, dernièrement, des abattages massifs de volailles, grippe aviaire oblige) devait entrainer une « ultime » irruption d’ « argent magique », d’euros et de dollars, entrainant, à son tour, de la spéculation sans accélération de la production. Un cercle vicieux. Une inflation qui profite aux mêmes. En l’occurrence, le patron du Forum économique mondial de Davos, Klaus Schwab, n’a pas hésité à sortir l’artillerie lourde dès la première année de Covid, en 2021 : « Il...
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Crise d'identité, individualisme, perte des repères traditionnels... en pleine polémique autour de l'autorisation du burkini dans les piscines de Grenoble, Bas les Masques reçoit Edouard de Praron, auteur du livre "Dépossession" (éd. Presses de la Délivrance) qui aborde toutes ces thématiques sans langue de bois.
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Si le rachat de Twitter par Elon Musk semble être une bonne nouvelle pour les défenseurs de la liberté d'expression, l'adoption du Digital Services Act au niveau européen fait peser une sérieuse menace. Décryptage avec Guillaume Leroy, doctorant en droit pénal des affaires et membre du Cercle Droit & Liberté.
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Édito. Emmanuel Macron a été réélu avec 58,5% des voix contre 41,5% pour Marine Le Pen, après une campagne d’entre-deux tours marquée par un appel à barrer la route au RN et un champ politique recomposé. Un nouveau quinquennat Macron s’ouvre ainsi, sur lequel plane plus que jamais le spectre de la division, des atteintes aux libertés et du déni de démocratie. Faut-il baisser les bras pour autant ?
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Des chercheurs canadiens et écossais ont publié une étude prétendant corroborer les liens entre adhésion à la désinformation et méfiance vis-à-vis de la transparence du gouvernement. Si l’hypothèse de départ n’a rien de bien original, le raisonnement bancal des chercheurs ne pouvait que fausser leur conclusion.
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À quelques jours du premier tour, deux think-tank de premier plan, l’Institut Montaigne et la fondation Jean Jaurès, ont publié des études visant à expliquer les bienfaits du programme d’Emmanuel Macron tout en tentant de disqualifier celui de sa principale concurrente, Marine Le Pen. Un procédé peu discret pour tenter d’influer les élections.

L’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) a été saisi le 9 février par la commission des Affaires sociales du Sénat, afin de réaliser une étude sur les effets secondaires des vaccins contre la Covid-19. Me Diane Protat a été entendue en qualité d'avocat de victimes d'effets secondaires. Elle nous raconte les coulisses de son audition.