Nouvel exploit de Macron : résister mais (un peu) céder tout de même ! Gratuit
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Après une nouvelle prise de parole montée en épingle depuis hier par les médias, Emmanuel Macron sera finalement resté sur sa ligne : sans céder au chantage des enfermistes, les mesures annoncées restent pénibles et inutiles.

"Ne pas céder à la panique". Une sentence à peine déguisée à l'attention des enfermistes qui n'ont cessé, depuis quelques jours, de réclamer un confinement strict sur le modèle du printemps 2020. Peine perdue pour la junte de l'AP-HP, qui a raté son coup d'état et ne deviendra pas le comité de salut public d'une nouvelle dictature sanitaire, le président préférant rester sur sa nouvelle ligne de "freiner sans enfermer".
Pas de réjouissances néanmoins : freiner sans enfermer peut-être, mais en empêchant tout de même de sortir à plus de 10km de chez soi. Avec la fermeture de certains commerces "inutiles" pour notre technocratie. Ainsi que le télétravail obligatoire. Et, en prime, sans pouvoir consommer de l'alcool à emporter, ce qui semble relativement incompréhensible.
Si le confinement strict exigé par certains n'a donc pas été retenu malgré le chantage au tri des malades, Emmanuel Macron n'a pas tout à fait gagné son pari et annonce une fermeture des écoles pour une semaine avec un allongement des vacances de Pâques à trois semaines pour toutes les zones. Ce qui, finalement, sera perçu par de nombreux enfants comme une pause bienvenue après de longs mois à être prisonniers du masque en cours.
Une lueur d'espoir tout de même : un potentiel retour de notre art de vivre "mi-mai", avec des perspectives pour les restaurateurs. Méfiance néanmoins : tant que nous ne serons pas sortis de l'état d'urgence sanitaire, nos libertés seront toujours en sursis.
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