Dernier rempart : la cécité du gouvernement portée devant le Conseil d'État Gratuit
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Le gouvernement vient de refuser le 16 mars par mémoire ampliatif l’instruction par voie d’enquête sollicitée sur la base de cette étude. Ce sujet majeur est en cours d’instruction devant le Conseil d’Etat et l’instruction sera bientôt clôturée. En conséquence, Bas les Masques a choisi d'appuyer cette démarche en participant à sa diffusion médiatique.

Dans un Etat de droit, le dernier rempart, c’est la justice. Lorsque l’exécutif s’est fourvoyé et que le pouvoir législatif lui a accordé sa confiance, c’est au juge que revient le dernier recours, celui par lequel la vérité est rétablie. Or le pouvoir exécutif lui-même s’est effacé en 2020 derrière un comité consultatif dont le rôle assumé est celui de « construire la pensée de la santé publique » et chargé de statuer, aux termes du Code de Santé Publique, sur une « catastrophe sanitaire ». Le Conseil d’Etat, ultime juridiction administrative, a tout d’abord préféré reproduire cette confiance en fondant toutes ses ordonnances sur les avis du comité. Ainsi, les trois pouvoirs, en théorie indépendants les uns des autres, se sont provisoirement rangés comme un seul homme derrière un Conseil Scientifique qui devait démontrer rapidement des failles béantes dans lesquelles s’engouffrèrent des intérêts privés supranationaux à la façon d’un cheval de Troie. Ces failles ont fait l’objet d’une analyse juridico-scientifique présentée le 6 mars au Conseil d’Etat sollicité, parce qu’irremplaçable, pour examiner les avis du Conseil scientifique à la lumière de révélations connues depuis : c’est le dernier rempart et il ne doit pas céder.
Voici l’argumentaire synthétisé de ce recours qui sera très prochainement publié dans son intégralité.
La pandémie de Covid-19 ne représente qu’une fraction des infections respiratoires aigües annuellement observées. Mais elle n’a pas suffi à modifier significativement la morbidité ni la mortalité infectieuses respiratoires en 2020. Seuls les plus de 85 ans en ont vraiment souffert, mais nul ne peut l’attribuer à la Covid-19 plus qu’à l’extraordinaire raréfaction des soins qu’ils ont subis. La pandémie est donc restée d’une proportion similaire à une pandémie grippale ou même à une épidémie saisonnière. Ce qui ne permet pas de transcrire en droit l’existence d’une « catastrophe sanitaire...
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Plusieurs présentateurs météo de grands médias comme BFM TV ou France Inter reconnaissent utiliser un ton volontairement alarmiste pour parler de la hausse des températures dans les périodes de fortes chaleur, afin de « faire de la pédagogie » auprès du public sur la question du changement climatique. Une pratique discutable, qui ressemble à une manipulation assumée de l’information.

Dans un sujet diffusé ce mardi 14 juin, la chaîne d’informations alarmistes en continu BFM TV n’annonce rien de moins que la « 7ème vague » de l’épidémie de Covid-19. En utilisant, une fois encore, les grosses ficelles des « cas positifs » au service d’un narratif qui fait de moins en moins recette.