Martin Hirsch manœuvre contre Emmanuel Macron ? Bas les Masques le dit depuis des semaines ! Gratuit
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Il y a un peu plus d'un mois, Bas les Masques avait mis en avant les réseaux d'influences à l'œuvre derrière les appels au confinement de la fin janvier dernier. Et notamment le rôle de Martin Hirsch, actuel directeur de l'AP-HP et proche d'Anne Hidalgo, particulièrement actif dans le camp alarmiste. Depuis ce week-end, une nouvelle offensive menée par L'AP-HP menace désormais de faire du chantage au tri des patients pour faire céder l'exécutif sur de nouvelles mesures restrictives, mais se heurte à de plus en plus de réticences. De nombreux médecins dénoncent même aujourd'hui une attitude alarmiste de l'AP-HP qui ressemble à un règlement de compte politique sur fond de crise sanitaire. À tel point que plusieurs proches du Président de la République s'en offusquent et affirment que Martin Hirsch cherche à profiter de la situation pour mettre Emmanuel Macron en difficulté. Le Canard enchaîné du 31 mars 2021 indique même que les ambitions du directeur de l'AP-HP le pousseraient à soutenir Anne Hidalgo en vue d'une éventuelle candidature de celle-ci contre le Président sortant. Une manœuvre que nous avions déjà relevé dans un article initialement intitulé "Derrière les appels au confinement, la main des socialistes ?" qui apportait bien en avance les réponses aux questions qui se posent actuellement. Nous vous proposons aujourd'hui de le redecouvrir.
L’agitation en faveur des mesures de confinement portée par certains scientifiques pourrait être liée à des considérations davantage politiques que sanitaires. Et semblerait émaner en particulier de personnalités dont le parcours montre une collusion entre le Parti Socialiste et l’AP-HP. Jusqu’à imaginer une tentative de sabotage de la fin du quinquennat d’Emmanuel Macron, en lui faisant porter la responsabilité des atteintes aux libertés qui rythment nos vies depuis près d’un an ?

Le choix du président de la République de refuser un troisième confinement fin janvier 2021, après une vague de contestation issue des réseaux sociaux, aura entraîné de vives réactions. Alors que plupart des médias évoquaient simplement le « pari » d’éviter un confinement — qu’ils présentaient pourtant comme inéluctable quelques jours avant — certaines personnalités médiatiques ont été bien plus véhémentes à l’égard de la décision présidentielle et n’ont pas hésité à le faire savoir. En jugeant notamment ce choix « incompréhensible » au regard d’une situation épidémique qui allait, selon eux, nécessairement s’empirer et submerger les hôpitaux face à une flambée inéluctable du virus. Trois semaines plus tard, pourtant, la réalité de la situation leur a donné tort. Et à mesure que l’épidémie reflue, leur pouvoir de nuisance semble s’amenuiser. En refusant d’assumer la responsabilité d’un nouveau confinement malgré la pression évidente, le Président de la République aura certainement effectué un choix politique judicieux. Ce que certains risquent d’avoir du mal à lui pardonner.
Le Parti Socialiste à la manoeuvre ?
Mais ce qui ressemble à une lutte d’influence, camouflée sous un prétexte sanitaire, révèle peut-être d’autres enjeux assez éloignés des simples questions de santé publique. En effet, sous couvert d’anonymat, un médecin hospitalier connaissant bien les arcanes de l’AP-HP (Assistance-publique - Hôpitaux de Paris) nous a affirmé que « les pros-confinement de l’AP-HP roulent pour Hidalgo et Hollande et soutiennent ces mesures pour dézinguer Macron ». Et en y regardant de près, il apparaît effectivement que la plupart des thuriféraires du confinement ont des parcours professionnels où se mêlent affinités politiques et activités de conseillers ministériels… qui les font tous graviter dans la sphère du Parti Socialiste.
Ainsi, plusieurs d’entre eux se sont distingués depuis le début de la crise sanitaire pour leurs positions radicalement alarmistes. Au premier...
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