Vaccination : Didier Raoult victime d’attaques médiatiques en série Abonnés
Auteur
Thèmes abordés
Après le succès de sa vidéo dans laquelle il émet l’hypothèse que les vaccins pourraient faciliter la propagation de l’épidémie, Didier Raoult a fait l’objet d’une attaque en règle dans Le Monde. Dans son très long papier consacré au professeur présenté comme « l’idole des antivax », le quotidien use d’un argumentaire incroyable mêlant à la fois des éléments de sa vie personnelle et des accusations particulièrement graves, reprises désormais dans une partie des médias.

Dans sa dernière vidéo disponible sur la chaîne YouTube de l’IHU de Marseille, qui culmine désormais à plus d’1,6 millions de vues en moins de 48h, le professeur Raoult a jeté un véritable pavé dans la mare en évoquant la phénomène des anticorps facilitants face au constat que les pays ayant le plus de personnes vaccinées sont aussi ceux qui relèvent le plus de nouveaux cas de Covid. Une hypothèse que Didier Raoult détaille en parlant du fait que les contaminations deux à trois semaines après l’injection vaccinale, que ce soit la première dose, la deuxième ou la troisième, ne sont pas relevées dans les études. « C’est une zone grise parce qu’on n’avait envisagé qu’une seule éventualité : que le vaccin était protecteur. En réalité, on ne déclare pas toutes les infections qui surviennent dans les 15 jours suivant l’injection. C’est là qu’il y en a le plus en réalité. Chez nous, 200 patients par jour se présentent. Et il y a la même incidence tant parmi les non-vaccinés que parmi les vaccinés. Les gens qui sont vaccinés sont aussi symptomatiques que les non-vaccinés, ils ont les mêmes charges virales. Mais ce qui est intéressant, c’est que parmi les vaccinés, 25-30% ont une injection depuis moins de trois semaines. Et parmi les gens que nous diagnostiquons, 10% sont des gens qui viennent d’avoir une injection » a-t-il ainsi précisé sur Sud Radio au micro d’André Bercoff.
Quelle que soit l’opinion qu’on peut avoir de Didier Raoult, force est de constater que la question qu'il pose mérite de l'être sur le plan scientifique. Alors qu’on aurait pu s’attendre à ce qu’un débat médical s’engage sur cette question, c’est une nouvelle fois une attaque en règle qui s’est abattue sur le professeur, en provenance du journal Le Monde, ex-quotidien « de référence », devenu...
Contenu réservé aux abonnés
Pour le consulter, vous devez vous connecter ou vous abonner.
Thèmes abordés

Plusieurs présentateurs météo de grands médias comme BFM TV ou France Inter reconnaissent utiliser un ton volontairement alarmiste pour parler de la hausse des températures dans les périodes de fortes chaleur, afin de « faire de la pédagogie » auprès du public sur la question du changement climatique. Une pratique discutable, qui ressemble à une manipulation assumée de l’information.

Dans un sujet diffusé ce mardi 14 juin, la chaîne d’informations alarmistes en continu BFM TV n’annonce rien de moins que la « 7ème vague » de l’épidémie de Covid-19. En utilisant, une fois encore, les grosses ficelles des « cas positifs » au service d’un narratif qui fait de moins en moins recette.