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« Quand on veut que les gens obéissent alors que ça n’a pas de sens, ça s’appelle du totalitarisme » Abonnés

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Dans sa vidéo hebdomadaire, le professeur Raoult prend une position très ferme sur la dérive autoritaire que nous vivons, en raison de l'injonction vaccinale généralisée qui n’a plus aucun sens au regard des données constatées.

« Quand on veut que les gens obéissent alors que ça n’a pas de sens, ça s’appelle du totalitarisme »
Le 1er février 2022

La dernière vidéo hebdomadaire de l’Institut Hospitalo-Universitaire de Marseille (IHU) intitulée « Vaccins : croyances et réalités » diffusée ce mardi 1er février risque, une nouvelle fois, de faire parler d’elle. Interrogé sur le rapport entre le taux de vaccination et la dynamique de l’épidémie, le professeur Didier Raoult revient sur la question du conformisme en prenant pour exemple l’expérience de Hash (être d’accord avec la majorité ne veut pas dire avoir raison) et la célèbre expérience de Milgram (l’obéissance à des choses qui n’ont pas de sens, jusqu’à la torture de son prochain) que nous avions analysée sur Bas les Masques.

Pour Didier Raoult, « on ne peut comprendre la torture et la déportation qu’à condition de comprendre ce qu’est l’obéissance [...] La seule manière d’empêcher l’obéissance est d’avoir des voix alternatives » ajoute le professeur, citant notamment le travail de Laurent Mucchielli que nous avons reçu à de nombreuses reprises. Et de s’agacer des personnalités qui suggèrent de ne pas soigner les personnes qui refusent d’obéir à l’injonction vaccinale. « Quand on veut que les gens vous obéissent alors que ça n’a pas de sens, ça s’appelle du totalitarisme » ajoute ensuite le directeur de l’IHU, qui évoque clairement le fait que la dérive actuelle de menace envers les non-vaccinés s’apparent à de la « dictature ».

Celui-ci dénonce également la censure des GAFAM (à laquelle les médias alternatifs comme Bas les Masques sont particulièrement exposés) affirmant à juste titre que « la tolérance à la divergence » n’est pas très élevée. Didier Raoult apporte ici une nouvelle dose de lucidité et de rationalité dans une période surréaliste et cauchemardesque.

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