La crise de la Covid a été l’occasion d’un processus historiquement inédit de contrôle de l’information à l’échelle mondiale. Quatre types d’acteurs y ont des intérêts convergents : 1) les gouvernements occidentaux libéraux, 2) le tandem que forment l’OMS et son grand financeur Bill Gates, 3) les « géants du numérique » qui contrôlent les réseaux sociaux mais aussi et de plus en plus 4) les médias
Cet article a originellement été publié sur le blog du sociologue Laurent Mucchielli
De nombreux Français ont été scandalisés par les publicités culpabilisatrices du Ministère des Solidarités et de la Santé au sujet des gestes barrières. La publicité au service de la santé publique mettait autrefois en scène des valeurs comme le patriotisme et le sens de la responsabilité. Elle joue aujourd’hui sur la peur en utilisant le marketing de la honte.
Vaccination, complotisme, restrictions sanitaires... Silvano Trotta, chef d'entreprise et figure connue de ce que les milieux convenus aiment à appeler "complosphère", et Laurent Alexandre, médecin et essayiste, ne sont de fait en accord sur à peu près aucun sujet. Bas les Masques leur a proposé régler leurs différends par les mots, en vidéo.
Alors que des députés viennent de déposer une proposition de loi visant à reconnaître le Covid long et mieux prendre en compte ses séquelles, le nombre de malades atteints reste encore très difficile à établir précisément. Et pour certains, la situation reste particulièrement difficile à vivre. Henri, l’un d’entre eux, a choisi de témoigner en exclusivité pour Bas les masques. Il nous raconte ses difficultés, revient sur la question du refus de soin qu’il a subi et nous explique les actions de l’Association Victimes Coronavirus Covid 19 France (AVCCF) représentée par Maître Fabrice Di Vizio.
Dans une tribune publiée sur Le Monde le 15 février, un collectif de scientifiques internationaux appelle à une stratégie « zéro covid » dont l’objectif n’est pas seulement d’aplatir les courbes de contamination mais d’éliminer le virus en créant des zones vertes sans contamination. Si l’objectif peut sembler louable, cette stratégie s’inspire ouvertement des exemples chinois, australiens ou néo-zélandais, qui ont été parmi les plus restrictifs au monde. Ce qui n’a rien d’étonnant au vu des signataires de la tribune, parmi lesquels on retrouve de nombreux adeptes des mesures coercitives comme Antoine Flahault ou Karine Lacombe.
L’agitation en faveur des mesures de confinement portée par certains scientifiques pourrait être liée à des considérations davantage politiques que sanitaires. Et semblerait émaner en particulier de personnalités dont le parcours montre une collusion entre le Parti Socialiste et l’AP-HP. Jusqu’à imaginer une tentative de sabotage de la fin du quinquennat d’Emmanuel Macron, en lui faisant porter la responsabilité des atteintes aux libertés qui rythment nos vies depuis près d’un an ?
Places en "réa", hospitalisations, nombre de cas... Comment les différents indicateurs relayés par les médias et par le gouvernement ont instauré une atmosphère de peur perpétuelle ? Malgré des erreurs factuelles, ce constat tiré par une vidéo devenue virale est pertinent. C'est pourquoi nous choisissons de la relayer sur baslesmasques.com, tout en en corrigeant les inexactitudes.
Alors que le gouvernement fait de la chasse aux fêtes et aux restaurants clandestins une priorité de la « lutte contre l’épidémie » en multipliant des contrôles aux méthodes parfois contestables, un flou reste persistant quant à la légalité de ces pratiques. Dans un article paru sur le Club des juristes, le professeur de droit Evan Raschel indique que de nombreuses verbalisations seraient, en réalité, dépourvues de fondement juridique.
Une étude menée par Epi-Phare, groupement d’intérêt scientifique constitué par l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) et la Caisse nationale d’assurance maladie (CNAM), détaille avec exhaustivité les pathologies susceptibles d’occasionner des formes graves de Covid. S’ajoutant ce que l’on connaît depuis le début de l’épidémie, cette étude vient confirmer de manière particulièrement précise que le Covid-19 est loin de concerner tout le monde de la même façon.
Avertissements, filtrages, censure… Depuis un an, les plateformes numériques durcissent leur politique de modération pour combattre la « désinformation » sur la crise sanitaire. Outre la prétention des GAFAM à vouloir proclamer la vérité, leurs règles sont parfois émaillées de contradictions dangereuses.
Le livre du professeur Raoult était aussi attendu par ses admirateurs qu’attaqué par ses détracteurs depuis l’annonce de sa sortie. Anthologie de ses propos tenus depuis le début de l’épidémie, les Carnets de guerre Covid-19 du directeur de l’IHU Méditerranée Infection sont davantage qu’une compilation : il s’agit là d’un véritable morceau d’histoire scientifique. Un outil indispensable qui ne manquera pas d’éclairer les lecteurs dans leur compréhension globale d’une crise qui dure depuis maintenant près d’un an et aura alimenté d’incroyables controverses.
Le groupe de protection sociale Malakoff Humanis a dévoilé cette semaine son "baromètre du télétravail 2021". Alors que la ministre du Travail Elisabeth Borne invite les entreprises à recourir massivement au travail à distance dans le cadre de la lutte contre l’épidémie de Covid-19, cette volonté affichée des pouvoirs publics de généraliser le télétravail ne fait pas l’unanimité chez les salariés. Et pose aussi de plus en plus de difficultés aux managers.
Une étude chinoise a observé les conséquences du confinement strict mis en place en Chine entre février et mai 2020. Ainsi, dans la ville de Feicheing, la proportion d’enfants myopes à six ans a été multipliée par trois. Un résultat très inquiétant, qui démontre que le confinement occasionne bien plus de dégâts qu’il n’apporte de solutions.
Trop de conseils tuent le Conseil !
La France dispose d’un nombre impressionnant d'agences sanitaires dont le rôle est d'éclairer la décision publique. Le Conseil scientifique est en trop et n'a aucune légitimité tandis qu'il s'est montré incapable d'avoir un positionnement clair sur beaucoup de sujets ! Cette instance dont le président dit tout et son contraire doit être dissoute séance tenante et le conseil aux autorités publiques doit être l'apanage des agences dont c'est l'office naturel !
Mettre du rationnel dans cette crise est urgent ! Trop de Conseils tuent le Conseil et tuent la décision publique.
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