Face à l’épuisement de la population, l’urgence est à la sortie de crise Abonnés
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L’amélioration de la situation sanitaire ces dernières semaines a démontré que la mise en place d’un nouveau confinement, pourtant annoncé comme inéluctable pour ralentir l’épidémie de Covid 19, n’était pas nécessaire.
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Réduire les interactions sociales : une mesure à l’efficacité non démontrée
Nos sociétés modernes ont été confrontées à plusieurs reprises à des épidémies graves (Grippe espagnole, Grippe de Hong-Kong, Tuberculose… ) et n’ont pas eu la nécessité de réduire les interactions sociales pour y mettre fin, alors que notre système de santé bénéficiait à l’époque de moins de moyens et était moins performant.
L’isolement des seuls malades, leur prise en charge ou encore le dépistage des cas contacts comme dans la tuberculose ont toujours été la norme dans la gestion des épidémies.
En aucun cas, l’isolement des sujets sains n’a été jugé nécessaire.
Ce n’est que suite à l’instauration du confinement par le régime Chinois que cette mesure a été généralisée dans le monde entier, sans aucun fondement scientifique ni aucune évaluation de la balance bénéfices/risques.
Dans une étude récente, John Ioannidis, l’un des plus grands épidémiologistes mondiaux, a démontré que les mesures sociales telle que les confinements ou fermetures des lieux culturels et des restaurants n’avaient aucun intérêt.
Au contraire, cela provoquerait une augmentation des contagions notamment au sein des foyers familiaux.
L’effet du couvre-feu sur le ralentissement de l’épidémie n’a jamais été démontré.
De nombreux pays voient l’épidémie régresser sans avoir instauré une telle mesure.
En France, l’avancée du couvre-feu à 18 h dans certains départements n’avait pas montré d’effet sur la réduction du nombre de cas, en comparaison avec les départements où il était maintenu à 20 h.
Réduire les interactions sociales : un remède pire que le mal
Depuis un an, notre système de santé concentre tous ses moyens sur une seule pathologie, dont la gravité n’est pas celle redoutée. Rappelons que la moyenne d’âge des personnes décédées est de 82 ans et que la moitié...
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