Censure des GAFAM : Bas les Masques définitivement banni de YouTube Abonnés
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COMMUNIQUÉ. À nouveau victime de l’acharnement de YouTube, Bas les Masques est cette fois censuré définitivement de la célèbre plateforme d’hébergement de vidéos. Notre réaction.

Ce mardi 17 août est une nouvelle journée noire pour la liberté d’expression. Après avoir reçu deux avertissements, assortis à chaque fois d’une suspension de douze jours, YouTube a cette fois décidé de supprimer définitivement la chaîne de Bas les Masques.
Dans le message qui nous a été adressé pour nous informer de notre censure, la plateforme a indiqué les éléments suivants : « YouTube interdit les contenus qui contredisent le consensus des experts d'autorités sanitaires locales ou de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) au sujet du vaccin contre le COVID-19 ».
Des motivations surprenantes, notamment au regard des vidéos incriminées : la première censure a été effectuée sur une vidéo du professeur Christian Perronne, alors que nous l’avions interrogé sur la sortie de son dernier livre, et la deuxième a concerné une vidéo du docteur Louis Fouché, qui nous livrait au cours d’un grand entretien son analyse de la situation.
Depuis notre deuxième suspension, qui a pris fin il y a moins d’une semaine, nous n’avions pas publié de nouveau contenu. Qu’à cela ne tienne pour YouTube, qui a décidé de nous bannir au prétexte d’une vidéo datant de la fin du mois de février dernier, lorsque nous avions décidé d’organiser un débat entre Sylvano Trotta et le docteur Laurent Alexandre, les deux intervenants ayant chacun eu tout loisir de s’exprimer librement.
Il apparaît clairement que YouTube a cherché le moindre prétexte pour s’en prendre à notre chaîne : si le contenu de la vidéo incriminée dérangeait à ce point le « règlement de la communauté » de YouTube, il est incompréhensible que ses modérateurs aient mis six mois à s’en rendre compte, eux d’ordinaire si prompts a censurer rapidement les voix discordantes.
Pire encore, YouTube assure comprendre que cette décision puisse « nous contrarier », mais...
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